Questionnaire de Marcel Proust[1]

1. Le principal trait de mon caractère ?  La curiosité

2. La qualité que je préfère chez un homme ?  La fiabilité

3. La qualité que je préfère chez une femme ? La compréhension

4. Ce que j’apprécie le plus chez mes amis ? La fidélité

5. Mon principal défaut ? L’impatience

6. Mon occupation préférée ? Rêver, imaginer, marcher

7. Mon rêve de bonheur ? J’en ai plusieurs : la paix, la joie, la justice

8. Quel serait mon plus grand malheur ? Perdre la vue

9. Ce que je voudrais être ? Ce que je suis, enfin!

10. Le pays où je désirerais vivre ? Je suis bien en Suisse

11. La couleur que je préfère ? Le bleu clair

12. La fleur que j’aime ? La pivoine

13. L’oiseau que je préfère ? L’étourneau

14. Mes auteurs favoris en prose ? Modiano, Auster, Yourcenar

15. Mes poètes préférés ? Baudelaire

16. Mes héros favoris dans la fiction ? Je n’en n’ai pas, mes héros sont réels

17. Mes héroïnes favorites dans la fiction ? Je n’en ai pas, mes héroïnes sont réelles

18. Mes compositeurs préférés ? Bach, Mozart, Nick Cave, Nirvana, Marcus Miller

19. Mes peintres favoris ? Bonnard, Matisse, Rothko, Pollock, Baselitz, Basquiat

20. Mes héros dans la vie réelle ? Les humanitaires, les moines, les alpinistes

21. Mes héroïnes dans l’histoire ? Les activistes, les politiciennes, les travailleuses

22. Mes noms favoris ? Torrent, clairière, sommeil, Pierre

23. Ce que je déteste par-dessus tout ? La tromperie

24. Personnages historiques que je méprise le plus ? Hitler

25. Le fait militaire que j’estime le plus ? Aucun

26. La réforme que j’estime le plus ? Toute réforme qui se préoccupe du bien des hommes.

27. Le don de la nature que je voudrais avoir ? L’ubiquité

28. Comment j’aimerais mourir ? Sans le savoir

29. État d’esprit actuel ? Joyeux

30. Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence ? Les fautes d’orthographe

31. Ma devise ? Pour savoir qui tu es, écoute ton silence. (Yankun)

[1] Extrait du site de la Bibliothèque de l’Université d’Illinois et de Wikipédia.
Ce questionnaire provient d’un jeu anglais datant des années 1860. Il est repris par Marcel Proust en 1890